ANNÉE 2508
L'année nouvelle, astre matinale,
Douce fiancée à la robe virginale,
Apparaît tout chargée de promesses
Et d'espoir au peuple en détresse.
Loin de nous les rancurs passées,
Loin de nous toute haine insensée
Dont l'effet triste et funeste
Nous rongeait comme la peste.
A notre pays bien aimé
A notre peuple divisé
A ceux, chers à notre cur
Paix, prospérité et bonheur.
Avril 1965